2 clés pour réussir son lancement d’activité

Lancer son activité et la rendre rapidement rentable, c’est un super projet n’est-ce pas ? Se lancer dans l’entreprenariat demande de l’investissement et de la patience. Il est rare qu’une entreprise décolle du jour au lendemain.

Aujourd’hui je voulais vous parler des deux règles qui ont formidablement bien fonctionné pour moi : Investir dans son entreprise et pouvoir le faire !

 

2 clés pour réussir son lancement d’activité

 

1. Réinvestir sur soi et son entreprise

Les premières années sont généralement consacrées à développer sa communication et son expertise. Nous avons besoin de nous rendre visible, de faire connaitre ce que nous proposons comme offres et de trouver nos premiers clients. Bonne nouvelle : nous pouvons nous entourer d’experts pour aller encore plus vite.

Mes premières années, je n’ai pas gagné d’argent à proprement parler. Je réinvestissais tout ou presque. J’ai bénéficié de l’expertise d’un coach en positionnement marketing – communication et j’ai fait appel à une community manager. J’ai également fait un partenariat avec Julie Happyngood qui a clairement participé à me faire connaitre. Grace à cette rencontre j’ai aussi eu l’occasion de développer de nouvelles compétences : tourner des vidéos, animer des conférences, apprendre à mieux gérer les réseaux sociaux. J’ai beaucoup ri et être aux côtés d’une formidable entrepreneuse m’a boostée. C’est également par son intermédiaire que j’ai rencontré Gala qui fut ma Community Manager et qui m’accompagne aujourd’hui en tant que responsable Marketing & Communication.

 

Se former pour accroître son expertise

En parallèle j’ai continué à me former, à affiner mes outils en naturopathie et en coaching. En naturopathie, par exemple, certains laboratoires proposent des formations ultra pointues. Rien de tel pour continuer à accroître son expertise sans débourser des fortunes. Pour ma part j’avais sélectionné deux laboratoires dont j’aimais particulièrement les produits : LPEV et COPMED.

J’ai également suivi des courtes formations dans des écoles de Naturopathie et j’ai continué de me former en rencontrant des passionnées comme Irène Grosjean.

Aujourd’hui, je dégage des ressources suffisantes et continue de me former. Je ne regrette aucunement mes investissements de départ, ils sont le résultat d’aujourd’hui. En moins de 5 ans, je me suis fait un nom et une légitimité en naturopathie. Celle-ci m’est précieuse dans mes accompagnements coachings puisqu’une bonne partie de mes clientes sont des naturopathes.

 

Investir dans du coaching

Je suis coachée, c’est pour moi une évidence dans mon évolution autant professionnelle que personnelle. Je continue en parallèle de me former : je termine une formation de coach et ai déjà 3 autres formations en tête.

Investir c’est enfin aussi mettre toutes les chances de son côté pour voir ses projets aboutir. Seul on va plus vite, ensemble on va tellement plus loin. Faire appel à l’expertise des autres, déléguer, et continuer au fil du temps ce rêve de transformation et de transmission.

Cependant me direz-vous, pour pouvoir investir, il y a un élément incontournable : l’aspect financier.

 

2. Avoir des ressources financières.

Pas toujours simple lorsqu’on se lance et pourtant fondamental. Pourquoi ?

Si vous avez fait une reconversion passion, vous faites parties des chanceuses. Pour autant, l’entreprenariat n’est pas un long fleuve tranquille. Il est assez rare d’être rentable dès la première année, c’est d’ailleurs souvent l’inverse. La ou les premières années, si vous respectez la première règle, vous risquez possiblement d’être déficitaire.

Pour ne pas perdre de vue votre engouement et votre passion, pensez à prévoir un autre apport. Parfois cela se fera au travers du chômage, de l’aide d’un tiers (conjoint.e) ou tout simplement en trouvant un « petit » job alimentaire en attendant la rentabilité.

 

  • Manquer d’argent, un frein à l’entreprenariat ?

Manquer d’argent, c’est manquer de pouvoir d’actions, c’est aussi étouffer de l’intérieur à moyen ou long terme. En effet, si au départ, portées par notre passion, nous acceptons d’investir sans compter sur nous-même (ateliers gratuits, articles dans les magazines, coach, Community Manager…), nous risquons de nous bloquer lorsque l’argent viendra à manquer.

Couvrir ses besoins primaires est indiscutable et donc notre priorité numéro 1. Si votre métier ne le permet pas dans un premier temps, il sera nécessaire de trouver une autre source de revenu. Bien sur nous rêvons tous de vivre, dès le début de notre passion. Parfois cela fonctionne, parfois non. Avoir un plan B, c’est avoir le choix de pouvoir continuer à développer sereinement et audacieusement son activité.

 

  • L’argent, une énergie et non un tabou

En France l’argent est un sujet relativement tabou. Pour gagner de l’argent, il faut soit se tuer à la tâche, et/ou arnaquer les autres. Stupéfiant et glaçant à la fois. Autant dans les pays anglophones, l’argent est vu comme un réussite en tant que telle, autant en France notre rapport est beaucoup plus complexe. Et si l’argent était tout simplement une énergie et non levier, pas une capitalisation de l’oncle Picsou.

L’argent que je perçois à travers mes coachings me permet certes de couvrir mes besoins primaires, mais il est surtout utilisé pour continuer de me former, pour honorer ma passion et nourrir mon expertise. Pour le contenu de mes formations, vous en bénéficiez directement : ici, si vous lisez cet article, sur mon compte instagram, et dans mes différents coachings. Je partage sans retenue car plus l’information circulera, plus chacun d’entre nous pourra participer à sa propre transformation et par voix de fait à la transformation du monde.

 

Dans mon coaching, je vends ma capacité à utiliser ses outils, mon écoute, mon sens de l’à-propos, mon don de voir ce que vous ne voyez pas (vos opportunités,..), mes années d’entreprenariat …

Demandez votre séance découverte gratuite !